Arbitrage & gestes

ENTREE sur la zone de COMBAT
Uniquement sur ordre gestuel de l’arbitre central. L’arbitre écarte les bras et les rapprochent pour figurer l’entrée de chaque combattant sur le tapis

SALUT
sans ordre de l’arbitre mais peut être exigé. Les combattants doivent se saluer d’eux même avant et après le combat si ce geste n’est pas effectué l’arbitre l’exigera en disant « REI » et en figurant des deux avant bras les bustes des adversaires s’inclinant.

Debout : UKE tombe de côté, presque à plat dos, mais un omoplate n’a pas touché le tapis
Au sol immobilisation : de 15 à 19 secondes : WAZA-ARI 7 points

les avantages :


Lors d’un combat de judo des points sont attribués en fonction de la qualité des projections et du temps de maintenue en immobilisation au sol.

WAZA-ARI
7 points – gros avantage. La main de l’arbitre tranche l’air de bas en haut vers l’extérieur.
2 WAZA-ARI dans un même combat équivalent à un Ippon l’arbitre annonce alors : WAZA-ARI AWAZATE IPPON
2 waza-ari ne veut pas forcément dire 2 techniques de projections, ce peut être également waza-ari sur immobilisation (voir les temps d’immobilisation)

Debout : UKE tombe de côté, presque à plat dos, mais un omoplate n’a pas touché le tapis
Au sol immobilisation : de 15 à 19 secondes : WAZA-ARI 7 points

IPPON
10 points – fin du combat. signifié par l’arbitre en ajoutant verbalement : SOREMADE (fin du temps, du combat).
La main de l’arbitre tranche l’air de bas en haut vers l’extérieur.
Debout : UKE tombe à plat dos.
Au sol immobilisation : à 20 secondes : IPPON 10 points.
Etranglement ou clef de bras : forçant l’abandon : IPPON 10 points.

Les avantages de « papy judo » ^^

KOKA
qui n’existe plus aujourd’hui – petit avantage.

La main de l’arbitre contre la poitrine paume vers l’extérieur.

YUKO
qui n’existe plus aujourd’hui – Moyen avantage.

La main de l’arbitre tranche l’air de haut en bas vers l’extérieur.

Annuler une décision
Seul l’arbitre central décide de changer son jugement. signifié par ce geste de balayage (de l’esprit) s’en suit la nouvelle décision comme exemple si dessous.
L’arbitre peut changer d’attribution de score en fonction de ses juges de chaise qui peuvent montrer leur opinion avec le geste approprié (score : YUKO – WAZA-ARI – IPPON ou geste de positionnement dans ou hors la surface de combat)
voir arbitre de siège
Ce geste de l’arbitre peut également servir à montrer aux combattants que l’action qui vient de se dérouler ne marque pas de point. Les juges de chaise peuvent faire le même geste pour montrer à l’arbitre central qu’ils considèrent que l’action ne mérite pas de valeur.

Annuler une décision
Seul l’arbitre central décide de changer son jugement. signifié par ce geste de balayage (de l’esprit) s’en suit la nouvelle décision comme exemple si dessous.
L’arbitre peut changer d’attribution de score en fonction de ses juges de chaise qui peuvent montrer leur opinion avec le geste approprié (score : YUKO – WAZA-ARI – IPPON ou geste de positionnement dans ou hors la surface de combat)
voir arbitre de siège
Ce geste de l’arbitre peut également servir à montrer aux combattants que l’action qui vient de se dérouler ne marque pas de point. Les juges de chaise peuvent faire le même geste pour montrer à l’arbitre central qu’ils considèrent que l’action ne mérite pas de valeur.

Annuler une décision et en changer
Exemple YUKO annoncé puis transformé en WAZA-ARI


Opinion des juges de chaise
Si le juge pense que l’arbitre central à fait une erreur de valeur attribuée à une projection il signale son avis par le geste du point qu’il veut attribuer et l’arbitre central décidera en fonction s’il doit changer son annonce.
par exemple : ici un arbitre de chaise annonce WAZA-ARI alors que l’arbitre central avait annoncé YUKO mais le 2ème arbitre de chaise ne se prononce pas, l’arbitre central choisira ou non de transformer sa notation.

Si pour le même cas les 2 arbitres de chaise annoncent le même score, l’arbitre central suivra automatiquement l’unanimité des jugements.
Si chaque arbitre annonce un score différent l’arbitre central peut les appeler pour échanger une discussion entre eux au centre du tapis afin de clarifier la décision à prendre.

Si le juge de chaise pense que les combattants ne progresse plus dans l’action au sol il fait le signe à l’arbitre central de les relever en annonçant MATTE

Appel des arbitres de chaise

l’arbitre central fait le geste simultané des 2 mains de venir vers lui. Il appelle par ce geste les juges de chaise à venir discuter avec lui afin de prendre une décision réfléchie.
Pour un point litigieux, un changement de valeur ou encore une pénalité.

MATTE
Arrêt momentané du combat et du chronomètre.
Très fréquemment dans un shiai l’arbitre intervient et arrête le combat. Lorsque les combattants sont au sol ou debout en fonction de divers événements. L’arbitre fait le geste STOP en direction des commissaires sportifs qui arrête de suite le chronomètre et qui le relance à l’ordre de l’arbitre central « HAJIME ».

L’arbitre peut annoncer MATTE pour :

  • donner une pénalité
  • lors de la sortie de la zone de combat
  • au sol si le combat n’évolue plus
  • sur blessure ou saignement
  • sur problème technique (chronomètre par exemple)
  • si des combattants d’un autre tapis arrivent jusque
    la surface de combat (ce qui peut arriver oui, oui 😉
    etc.

SONOMAMA
Dans le cas par exemple où le kimono d’un des combattants gène la suite du travail au sol, l’arbitre interrompt momentanément le combat en le signifiant en tapant simultanément sur les épaules des combattants et en disant SONO-MAMA « ne bougez plus »


REPRISE au sol après le SONOMAMA :

YOSHI
pour que le combat reprenne l’arbitre annonce YOSHI et le chronomètre repart.

Immobilisation

Dans un combat de judo le fait de maintenir son adversaire au sol peut permettre d’arrêter le combat si la durée est conséquente.

Immobilisation

OSAE-KOMI
L’arbitre tend le bras vers les combattant au sol pour signifier la prise et annonce « OSAE-KOMI » pour que les commissaires sportifs déclenchent le second chronomètre dédié aux immobilisations.

Temps et points :
Avant 15 secondes aucun point de comptabilisé.
De 15 à 19 secondes de maintient de l’adversaire sans interruption : WAZA-ARI 7 points.
A 20 secondes sans interruption : IPPON 10 points.

Sortie d’immobilisation

TOKETA
L’arbitre fait un geste de balayage latéral avec la main qu’il tenait tendu pour annoncer l’immobilisation et dit « TOKETA »

Fin du combat

SOREMADE
La fin du combat est annoncé par l’arbitre soit à la fin du temps réglementaire soit lors du ippon par nage-waza, osaekomi-waza, kansetsu-waza ou shime-waza

Fin du combat

Ajuster le judogi

Après le MATTE qui arrête le combat et le chronomètre, l’arbitre croise les bras pour figurer la veste du kimono et ainsi passer comme consigne au combattant de se rhabiller convenablement. Parfois pendant un combat, toujours à la fin de celui-ci.
Il peut également faire le geste de serrer la ceinture pour demander à ce que ce soit fait.

Victoire

KACHI
Quelque soit le score tant que les adversaires se sont départagés par points ou décision arbitrale
signifié par l’arbitre au moment du salut des combattant par le geste en direction du vainqueur paume de la main vers l’avant.
Si aucun des combattants n’a d’avantage, il y a HANTAI, l’arbitre central va chercher 2 drapeaux pour les juges de chaise et lui (1 blanc et 1 rouge ou bleu en fonction du signe distinctif – ceinture rouge ou kimono bleu pour la TV) puis à l’annonce de HANTAI par le juge central les arbitres lève le drapeau du combattant qu’il désigne vainqueur.
Le gagnant et celui qui recueille le plus de vote

Match nul

HIKI-WAKI
Si le type de combat n’exige pas de victorieux (comme pour les passages de grades en poule ou tableau) et que les combattants n’ont su se départager par une action comptabilisée ou par pénalité, l’arbitre central annonce HIKI-WAKI en fendant l’air du bras au centre.

Décision d’un gagnant

HANTAI
Si le type de combat exige un victorieux et que les combattants n’ont su se départager par une action comptabilisée ou par pénalité, l’arbitre central va chercher à la table centrale 2 drapeaux pour chaque juges de chaise et pour lui même (un drapeau blanc et un rouge ou bleu en fonction de la distinction utilisé pour reconnaître les combattants, le bleu servant pour la retransmission télévisée).

HANTAI
Les arbitres placent alors les 2 drapeaux devant eux bras tendus et à l’annonce de l’arbitre central HANTAI, chacun donne son vainqueur en levant le drapeau le distinguant. Le vainqueur est celui qui emporte le plus de voix.

les pénalités :

Shido : Faute légère donne un koka à l’adversaire
Chui : Faute sérieuse donne un yuko à l’adversaire
Keikoku : Faute grave donne un waza-ari à l’adversaire
Hansoku Make : Disqualification donne un ippon à l’adversaire

SHIDO pour non combativité « moulinette »
l’arbitre fait un roulement de bras puis pointe le combattant désigner pour lui infliger la pénalité en annonçant « SHIDO ». La première pénalité est gratuite (puisque le KOKA n’existe plus), la seconde gratifie l’adversaire d’un YUKO, la 3ème d’un WAZA-ARI et la la 4ème d’un Ippon par disqualification.

SHIDO pour refus de combat « brancards »

l’arbitre tend les 2 bras vers le combattant en serrant les poings et fait un geste raide vers le bas puis pointe du doigt le combattant pour lui infliger la pénalité en annonçant « SHIDO ». La première pénalité est gratuite (puisque le KOKA n’existe plus), la seconde gratifie l’adversaire d’un YUKO, la 3ème d’un WAZA-ARI et la la 4ème d’un Ippon par disqualification.

SHIDO pour sortie délibérée de la zone de combat
Si un adversaire sort de la zone de combat plusieurs fois ou est poussé par son adversaire sans tenter d’éviter la sortie il reçoit une pénalité. L’arbitre fait le geste de bordure d’une main et pointe le combattant à réprimer en annonçant « SHIDO » .
Les pénalités peuvent s’additionner jusque disqualification à la 4ème d’entre elles.

HANSOKU MAKE pour saisit de judogi disqualification
l’arbitre fait le geste d’un bras de saisi du pantalon et pointe le combattant en disant « HANSOKU-MAKE »

Action dans la surface de combat

par le juge de chaise
Si l’arbitre de chaise juge qu’une action qui se termine hors de la zone combat à débuté à l’intérieur de celle-ci il le figure à l’arbitre central en tendant le bras le long de la ligne de tapis.
L’arbitre central jugera ensuite s’il accorde des points à l’action et ses juges de chaise pourront alors lui figurer leur opinion avec le geste adapté.

Zone de combat surface de tatamis de 64 m2 – 8 x 8 m
Lorsque l’un des combattants à toujours un membre dans la zone, la sortie n’est pas considérée lors d’une immobilisation, celle-ci est comptabilisée tant qu’un membre reste sur la surface également. La zone est l’équivalent des faces verticales d’un cube virtuel (ici en vert), le membre n’est pas obligé de toucher le sol pour être dans la surface.

Action en dehors de la surface de combat
par le juge de chaise

Si l’arbitre de chaise juge qu’une action qui se termine hors de la zone combat à débuté hors de la zone il le figure à l’arbitre central en agitant le bras horizontalement le long de la ligne de tapis.
L’arbitre central jugera ensuite s’il accorde des points à l’action et ses juges de chaise pourront alors lui figurer leur opinion avec le geste adapté.

Action en dehors de la surface de combat
lorsque les combattants sortent de la surface de combat il y a arrêt par arbitre central MATE, le juge de chaise du côté de l’action fait le geste dans ou en dehors de la surface si il y a eu projection d’un des combattants avant ou après la sortie. Toute action ayant commencé dans la surface et se concluant en dehors est comptabilisée (contre y compris) dès lors que l’action commence alors qu’aucun membre de l’un ou l’autre des adversaires n’est dans la surface (cubique, donc pas besoin de contact au sol) alors le résultat de cette action ne sera pas validée.

Shiai

la compétition
Les deux combattants entrent sous l’ordre de l’arbitre central chacun d’un côté du tapis en se faisant face ils saluent la surface en même temps RITSUREI (salut debout) puis y pénètre, avance jusqu’au centre se saluent sans ordre de l’arbitre qui doit toutefois l’exiger si les adversaires ne le font pas d’eux même, puis avance d’un pas MAENI – gauche droite face à face pour se présenter au combat et attende l’ordre de débuter HAJIME. A la fin du combat les adversaires font un pas de recul au moment de la décision de l’arbitre central MOTONI droite-gauche face à face en reculant et se saluent d’eux même, puis peuvent se serrer la main et ensuite retourner au bord du tapis par lequel ils sont entré, saluent la surface de combat de la même façon et sortent du tatami. (On salut aussi le tatami en sortant, et oui le judo c’est tout un esprit incliné, ce qui en fait bien plus qu’un sport, une idéologie… à ne jamais perdre !)

Pour distinguer les combattants le premier appelé porte une ceinture rouge et se place à droite de l’arbitre (entre sur la surface autour de la zone de combat à gauche de la table des commissaires sportifs). NOTE : Pour la télévision le kimono bleu à été instauré afin de distinguer plus facilement les protagonistes. à l’ordre HAJIME de l’arbitre de centre le combat commence. Le combat s’effectue sur une surface carré de 64 m2 (8 m x 8 m – 1 tapis mesurant 1m x 2 m) entre 2 adversaires à la fois sous l’oeil d’un arbitre central assisté de 2 arbitres de chaise placé au coin de la surface et de commissaires sportifs qui à la table centrale déclenche le chronomètre et organise les combats (en poules ou tableaux selon les compétitions).

Randori

Cette fois plus de contrainte, TORI et UKE disparaissent au profit de deux combattants utilisent leurs acquis pour faire chuter l’autre. Le Randori peut soit être debout, au sol ou debout et suivi au sol.

L’HISTOIRE DU RANDORI DANS LE JUDO : L’ORIGINE ET LE DÉVELOPPEMENT DU RANDORI
YOSHIAKI EVERYTHING (UNIVERSITÉ DE TSUKUBA)
D’où vient le randori (une forme de pratique du judo) ?
On pense généralement que c’est Jigoro Kano qui l’a développé, mais est-ce vrai ou faux ? L’examen de l’origine et du développement du randori a donné les résultats suivants :

  1. l’un des précurseurs du randori est le kitoryu-midare, fondé par Sensai Ibaragi, actif à l’époque d’Iemitsu, le troisième Shogunato de l’ère Tokugawa. Sensai Ibaragi appréciait beaucoup les mouvements agiles du kitoryu-midare, qu’il appelait tai,sha (techniques de projection) et uke.
  2. Le randori a évolué au fur et à mesure que les méthodes de pratique changeaient. Un exemple est nokori-ai, une méthode d’entraînement dans laquelle uke attaque tori à moins que tori ne parvienne à projeter uke en kata-geiko.
  3. Tenjin-shinyo-ryu, un style de jujutsu populaire à l’époque d’Edo qui utilisait à la fois le randori et le kitoryu. Il y avait seize techniques, dont nage waza et shime waza.
    L’uniforme utilisé pour pratiquer le jujutsu ayant des manches très courtes, des techniques telles que seoi nage et harai goshi pouvaient être pratiquées, alors que tai otoshi ne pouvait pas l’être.
  4. Jigoro Kano, le fondateur du judo, a allongé les manches courtes de l’uniforme de jujutsu dans le but d’améliorer la sécurité. Cette amélioration a permis à Jigoro Kano d’étendre et de varier le nombre de techniques offensives. Par exemple, plus de te waza et d’ashi waza pouvaient être appliqués puisqu’il y avait plus d’opportunités de déséquilibrer un adversaire avec des manches plus longues.
    Avec les techniques de préhension, Jigoro Kano inventa une nouvelle méthode d’entraînement où les élèves commençaient à se fixer l’un l’autre au sol. Jigoro Kano n’était pas satisfait du randori dans lequel les élèves faisaient preuve de plus de force que d’habileté, et il insistait pour que le randori soit axé sur la technique et l’agilité. C’est pourquoi, si l’on considère l’évolution du randori depuis l’ère Edo jusqu’à aujourd’hui, les manches bien allongées de Jigoro Kano apparaissent comme une amélioration majeure. Par la suite, le randori a exercé une influence considérable, révolutionnant le développement technique.

kakari-geiko

Le kakari-geiko permet à TORI et UKE de travailler différement, Pendant que TORI tente de projetter UKE en situation (en déplacement), UKE lui essaye, sans contrer, d’esquiver les attaques de son adversaire. Cela permet pour TORI de rechercher les KUZUSHI (déséquilibres) dans la réalité du déplacement, tenter des enchaînement lorsque son attaque première ne fonctionne pas ou feinter son adversaire en le laissant croire qu’il va éxécuter une prise précise pour mieux en lancer une autre. Pour UKE il s’agit d’avantage d’essayer de surpasser les attaques de TORi tout en utilisant que peu sa force physique, cela permet de ressentir également les moments propres aux contres…

Yaku-soku-geiko

Le Yaku-soku-geiko c’est le Nage-komi en déplacement, cette fois plus de statisme, il faut lancer les techniques en situation de combat, lors des déplacements il n’est pas toujours aisé de trouver le déséquilibre que l’on espère pour réaliser une technique. Lorsque UKE se laisse entièrement faire cela aide TORI pour placer son corps au bon moment au bon endroit…

Nage-Komi

Le Nage-Komi permet à TORI grâce à l’aide indispensable de UKE de travailler ses prises en projection sans être en situation de combat. Dans le même temps UKE lui, apprend à positionner son corps dans la chute, c’est donc un éducatif pour les deux. Pour un Nage-Komi parfait UKE doit se tenir droit jusque la chute ce qui permet à TORI de bien se positionner ; mais TORI doit également faire attention à son partenaire, en ne le projettant en fonction de ses facultés à chuter.

Uchi-Komi

L’Uchi-Komi est le fondement même du concept TORI/UKE. Celui qui éxécute les techniques se nomme TORI, celui qui les subit sans réagir, c’est UKE Le principe de l’Uchi-Komi est de travailler l’entrée des techniques afin de maîtriser au mieux la phase du Kuzushi (déséquilibre) qui précède le gake (projection). TORI peut soit travailler le même mouvement plusieurs fois, soit varier les techniques ; TORI et UKE peuvent également changer de rôle après chaque mouvement. Le travail peut s’effectuer sur des entrées directes, des enchaînements (renzoku-waza), des contres go-no-sen.)

Tandoku-renshu

Le Tandoku-renshu est un entraînement en solitaire qui permet de travailler le placement de ses techniques et de trouver ses points d’équilibres.
Il peut s’effectuer debout ou au sol, sur toutes formes de techniques et sur les Kata afin de visualiser les mouvements avant de les réaliser. C’est également un très bon échauffement.

Hô-hon

Les huit déséquilibres :
Une fois le KUMIKATA en main TORI peut diriger son adversaire dans l’espace tridimensionnel. Il peut donc faire un déséquilibre avant, MAE-KUZUSHI ; un déséquilibre arrière, USHIRO-KUZUSHI ; vers la droite, MIGI-KUZUSHI ; vers la gauche, HIDARI-KZUSHI ; ou encore combiner les angles pour faire un déséquilibre avant-droit, MIGI-MAE-SUMI- KUZUSHI ; avant-gauche HIDARI-MAE-SUMI-KUZUSHI ; arrière droit, MIGI-USHIRO-SUMI-KUZUSHI ; et arrière gauche, HIDARI-USHIRO-SUMI-KUZUSHI.

Ushiro kuzuchi – Déséquilibre arrière

Mae kuzuchi – Déséquilibre avant

Hidari kuzuchi – Déséquilibre gauche

Migi kuzuchi – Déséquilibre droite

Kumikata

Saisie de la manche et du revers les fondamentaux du judo

Garde de base
Cela permet d’engager différentes techniques avec aisance, il faut noter que la prise de KUMIKATA est une des actions les plus importante du JUDO puisque d’une bonne prise de JUDOGI s’en suivra un KUZUSHI efficace (déséquilibre). 

Saisie de revers classique

Saisie de revers inversée

Saisie d’une main des deux revers

Saisie à deux mains des deux revers

Saisie à deux mains des deux manches 

Les INTERDITS notamment en compétition

Certaines prises de kimonos sont interdites comme par exemple mettre un doigt à l’intérieur de la manche pour mieux la tenir
sous peine de SHIDO

La prise « pistolet » c’est à dire la saisie du bout de manche n’est pas autorisée sous peine de SHIDO

Il est formellement interdit de saisir ou de faire opposition avec la main sur une jambe sous peine de disqualification HANSOKUMAKE

Nombre de techniques de projection ne sont donc plus valides comme KATA-GURUMA (dans sa forme fondamentale)
TE-GURUMA, SUKUI-NAGE, KUCHIKI-DAOSHI, KIBISU-GAKE, TE-OTOSHI, MOROTE-GARI…

Lorsque l’adversaire arrive au sol et que TORI est encore debout, UKE ne peut se saisir ou faire opposition de ses mains sur le pantalon pour empêcher l’enchaînement

Dans la même position, TORI ne peut enchaîner au sol en attrapant une jambe directement sans laisser un temps de transition entre le tachi-waza et le ne-waza, sous peine de SHIDO également

Au sol la saisie de jambe est autorisée mais il est interdit de saisir le bas de pantalon de la même façon qu’il est interdit de saisir la manche (démontré ci-dessus) sous peine de SHIDO

Il est interdit de faire céder la garde de son adversaire à l’aide des deux mains sur un même bras sous peine de SHIDO

Il est interdit de faire céder la garde de son adversaire à l’aide des deux mains sur un même bras sous peine de SHIDO

Il est interdit de faire céder la garde de son adversaire à l’aide d’un genou, ou de la jambe sous peine de SHIDO

En garde croisée, TORI doit attaquer immédiatement que ce soit main au revers plus manche ou les deux mains sur le même bras ou le même revers sous peine de SHIDO

Il est interdit de repousser les attaques de son adversaire en tendant les bras pour le garder à distance, sous peine de SHIDO

Empêcher son adversaire de saisir le kimono en le maintenant d’une main au revers et en éloignant son propre bras constamment pour éviter la saise de manche n’est plus accepté en compétition depuis 2014, sous peine de SHIDO

Il n’est également pas possible de passer la tête sous le bras dont la main est au revers sous peine de SHIDO

Shisen

Ayumi-ashi – Marche classique

Déplacement une jambe après l’autre comme une marche normale, mais plus basse en appui.

Tsugi-ashi – Pas chassés de face

Déplacement une jambe en avant, l’autre la rejoint, c’est le déplacement des KATA entre autre.

Tai-sabaki – Rotation du corps

Déplacement en pivot autour de la jambe avancée ou reculée, c’est un changement de direction.

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